Chez les Guéré-Wobé, les centres de style classique se situent dans la région du cours moyen du Nzo, affluent de la Sassendra (Côte-d’Ivoire).

Le traitement des différentes parties du visage en exaspère les contours, les transforme en volumes contrastants, les fige en saillies géométriques, les multiplie contre nature, les subordonne à des thèmes étrangers, le plus souvent animaux.

Cette exploitation inventive du visage ne connaît guère de limites : le font, les oreilles, les arcades sourcilières, les yeux, le nez, les pommettes, la bouche, la mâchoire sont exprimés par des tubes, des cônes, des globes, des demi-lunes, etc. [1]